Le "patron" du Foot, lui aussi, fait neunoeil.
Le Foot étant d'ailleurs une arme de destruction invasive, débilitante et massive.
Le Deschamps, ce vendu aux rapaces
sait ce qu'il fait.
La valorisation du Football, comme l'Avortement, comme l'obésité programmée, est un crime contre l'Humanité
Ce sont des couillons de cette espèce qui font avaler la pilule du Remplacement.
Le Foot étant d'ailleurs une arme de destruction invasive, débilitante et massive.
Le Deschamps, ce vendu aux rapaces
sait ce qu'il fait.
La valorisation du Football, comme l'Avortement, comme l'obésité programmée, est un crime contre l'Humanité
Ce sont des couillons de cette espèce qui font avaler la pilule du Remplacement.
Le mannequin anonyme d'Intermarché aussi.
Dans quelle civilisation de tarés avons-nous chuté ?
Dans quelle civilisation de tarés avons-nous chuté ?
Le Tittytainment bat son plein.
C'est Noeil et la Kabbalah tous les jours
& sur tous les supports médiatiques quels qu'ils soient.
Et, en France nécrosée et macronisée,
le Barnum qu'est l'enterrement de Johnny qui n'en finit pas, se poursuit, avec en sus, un quasi disque post-mortem par un gars qui s'est totalement identifié à lui. La guignolade hallydesque continue.
Faut bien nourrir le beauf de ce foin indigeste.
& sur tous les supports médiatiques quels qu'ils soient.
Et, en France nécrosée et macronisée,
le Barnum qu'est l'enterrement de Johnny qui n'en finit pas, se poursuit, avec en sus, un quasi disque post-mortem par un gars qui s'est totalement identifié à lui. La guignolade hallydesque continue.
Faut bien nourrir le beauf de ce foin indigeste.
Confessions d'un non repenti foot-ophobe .
RépondreSupprimerDepuis le plus loin que je puisse me souvenir, j'ai toujours haï le football .
Enfant, éducation nationale oblige, je devais déployer des qualités de négociateur du GIPN pour échapper à l'activité que mes petits camarades attendaient : le foot.
Mon aversion était si indissimulable que, sachant par ailleurs mon goût pour tous les autres sports, aucun professeur de sport ne m'a jamais blâmé pour cela. Les plus téméraires d'entre-eux, se sont tout au plus essayés à me faire participer en "roi du marquage" qui insupportait ses camarades.
La solution a été trouvée très jeune, elle fut une chance pour la vie :-"Si vous m'épargnez le match de foot je m'engage à courir sans discontinuer tout le temps de la partie" Une prédisposition pour le semi-marathon était née. Merci le foot !
Qu'est-ce que je n'aimais pas dans le foot, sans savoir le verbaliser à l'époque :
1-La sélection : Système de petits chefs autoproclamés, jaugeant d'un seul coup d'œil qui est bon et à quel poste il sera bon. Avec son lot de cooptation et de dons de voyance du haut de leur huit ans.
Sans le savoir je m'auto-excluais en n'adoptant pas les codes culturels du footeux, les chaussures : Mes chaussures, tantôt Paraboot tantôt de handball, trahissaient mon manque de goût pour le sport multiculturel par excellence.
2-Le pilpoul : Dommage que je ne connaissais pas ce mot à l'âge de huit ans, à lui-seul il résume mon entière détestation du football. Tout y est sujet à polémique : Une ligne, un jugement d'arbitre, un geste technique, une stratégie, le choix de la personne à qui on fait la passe, l'hypothétique effleurement du ballon de la main, le morveux à qui on a fait ou on n'a pas fait la passe etc..
Insupportable de n'avoir que huit ans et se trouver en compagnie de morveux du même âge jouant le destin de l'humanité à chaque match. Hitler n'avait qu'à bien se tenir, in fine l'avenir du monde se jouait plus sur un terrain de football de collège. M'aurait-on menti ?
3-La comédie : le foot a toujours été un sport étranger pour moi, ce depuis le plus jeune âge. Indépendamment du monopôle racial y sévissant actuellement j'ai toujours ressenti le foot comme sport Africain dans ses mœurs, us et coutumes.
Son pilpoul interminable pour des broutilles, son manque de fair play, sa propension à des reproches et repentance portant sur l'historique des parties, ses comédies, ses "ail, ouille, j'ai mal", ses chutes feintes, ses cartons jaunes et ses purges rouges à la tête du client.
Là où dans un dojo tout le monde reste faire play et conscient qu'il n'est pas à l'abri d'une erreur de calibrage, au football c'est tout l'inverse. Sport peu viril et de piètre école de vi, le foot alterne entre excès de sensiblerie et violence autorisée pour certains "élus".
Là où, discipline oblige, dans aucun art traditionnel il n'est possible de voir quiconque contester l'arbitrage ou le maître, le football est tout à l'inverse. Chaque décision d'arbitrage donne lieu à des millions de commentaires, l'arbitre n'est pas un vieux pratiquant respecté car expert, il est un souffre douleur, "à mort le flic"...
Dès huit ans, le foot était à mes yeux un prétexte à la plus grande concentration de crétinisme au mètre carré, mon avis n'a pas changé.
Avez-vous regardé l état physique et mental un supporter sortant d'un match de foot , l'hystérie, la soulographie, l'idolâtrie ? Si vous regardiez les gens sortant d'autres sports individuels comme collectifs, vous comprendriez que le football n'a rien d'un sport mais a tout d'une religion faite par des décérébrés pour des décérébrés.
Décidément, crée par des malades, pratiqué par des malades, supporté par des malades, ne crée qu'une seule chose : Les maladies !
Bienvenue au Club !
Supprimer@Le Gall
SupprimerDésolé de mon manque de diplomatie, je ne cherche pas à blesser les footeux, je dis simplement les choses que je ressens comme je les ressens.
Une vidéo liée à l'histoire du goût populaire pour le foot :
https://youtu.be/1_-YqHvVd5c
La musique adoucit les mœurs :
https://youtu.be/6Ejga4kJUts
(je confesse avoir un faible pour les voix féminines en matière de musique, notamment la merveilleuse chanteuse-musicienne Lisa : https://youtu.be/xfgl57vINmw )
Quel manque de diplomatie ???
Supprimer