Sur la moule des femmes que tu as fort niquées, j'écris ton nom.
Sur l'épaule des africains que tu as immigrés, j'écris ton nom.
Sur le feu des guerres raciales que tu as importées, j'écris ton nom.
Sur le dos des fœtus que tu as avortés, j'écris ton nom.
Sur la repentance éternelle que tu as imposée, j'écris ton nom.
Sur le lobby que tu as si souvent loué et choyé, j'écris ton nom.
Sur la droite simiesque que tu as tant singée, j'écris ton nom.
Sur ton bolchévisme ancré que tu as bien masqué, j'écris ton nom.
Sur la gauche létale que tu as imposée, j'écris ton nom.
Sur la fausse unité dont tu nous a sermonnés, j'écris ton nom.
Sur la république dont tu nous as bassinés, j'écris ton nom.
Sur la face blême de ta femme cocufiée, j'écris ton nom.
Sur le faciès vieilli de la Cardinale que tu as tant aimée, j'écris ton nom.
Sur le ventre des sumos que tu as tant vantés, j'écris ton nom.
Sur l'aile des avions pour Tokyo que tu as tant visitée, j'écris ton nom.
Sur la nuque des "japones" que tu as tant ramonées, j'écris ton nom.
Sur le front des femmes qu'avec D'Estaing tu as partagées, j'écris ton nom.
Sur la foule de trahisons que tu as essaimées, j'écris ton nom.
Sur les bombes atomiques que tu as fait péter, j'écris ton nom.
Sur tes mains qui ont tant de seins pelotés, j'écris ton nom.
Sur ton stylo qui a tant de blanc seings signés, j'écris ton nom.
Sur ton pénis que tu as si souvent à la rescousse, hélé, j'écris ton nom.
Sur la loge Alpina que tu as parfois hantée, j'écris ton nom.
Sur le cul des vaches que tu as si souvent caressé, j'écris ton nom.
Sur la page blanche du débat que tu as refusé, j'écris ton nom.
Sur le cadavre de Simone et le tien enlacés, j'écris ton nom.
Sur le peuple de France que tu as aliéné, j'écris ton nom.
Sur la France que la main sur le cœur, tu as trahie, j'écris ton nom.
Sur ta beauté juvénile que le pouvoir a fanée, j'écris ton nom.
Sur ces couillons de français que tu as dupés, j'écris ton nom.
Sur le parvis de mairie avec son fameux chandelier, j'écris ton nom.
Sur les milliers de vers que je n'ai pas énoncés, j'écris ton nom.
Sur ces couillons de français que tu as dupés, j'écris ton nom.
Sur le parvis de mairie avec son fameux chandelier, j'écris ton nom.
Sur les milliers de vers que je n'ai pas énoncés, j'écris ton nom.
Sur le gaullisme fade et la traitrise que tu as incarnés, j'écris ton nom.
Sur ton âme glauque et bifide que la mort vient de gober, j'écris ton nom.
Sur la page à rallonge des refus des Le Pen, j'écris ton nom.
Sur le papier de l'âme cocue et déjà glacée de Bernadette, j'écris ton nom.
Sur le marbre de tes funérailles obscènes, je conchie ton nom.
Sur la page à rallonge des refus des Le Pen, j'écris ton nom.
Sur le papier de l'âme cocue et déjà glacée de Bernadette, j'écris ton nom.
Sur le marbre de tes funérailles obscènes, je conchie ton nom.