En ces temps difficiles où la civilisation a tourné marécageuse, entre le pourrissement du pays par invasion, grand remplacement (GR = immigration sauvage + avortement de masse, ce dernier n'étant jamais évoqué par la droite mole, RN inclus), crise économique systémique, gauchisation et wokisation des esprits, le principe wokiste de base étant de confondre fantasme et réalité, promesse de guerre, direction du pays par un juif gay cocaïnomane complètement à la ramasse, Jean-Michel Trogneux alias "Brigitte" est bien notre seule raison de rigoler !
Quand nous voilà pris de désespoir pour des raisons personnelles, ou à cause du spectacle que nous offre notre pays en souffrance ou de la condition des vaccinés et du danger de la contamination, une petite voix intérieure nous murmure à l'oreille :
"Pense à Brigitte, pense à Brigitte" !
Sans "Brigitte", disons-le, on se ferait chier, et peut-être même que la France ne serait plus la France, car Il incarne une tradition de gauloiseries, et Pigalle, Chez Michou, et la Place Vendôme, à lui tout seul !
Comme dit Poussard, "Le Talentueux Jean-Michel Trogneux, Il faut avouer que la farce est grandiose.
Rappelons nous du temps où "Brigitte" s'exhibait avec des jupes trop courtes, et celui, antérieur, où Il s'inquiétait des rumeurs persistantes et plus que fondées concernant l'homosexualité de son mari !
Macron, c'est Sarkö à la puissance carrée , et dieu sait que cet immigré et ce français de papyrus, cette raclure, en aura fait des dégâts en France.
Bien sûr que nous avons acheté le livre pour soutenir le mouvement mondial, Xavier, Candace, et Natacha, même si pressibus condense et actualise merveilleusement l'affaire.
Qui aurait cru qu'une autre "Brigitte" française allait dépasser la reconnaissance universelle de celle de Bardot ?
Qui ?
Et qui aurait cru que Brigitte serait devenu un prénom masculin ?
Personne !
Ni le visionnaire Soral, ni le survivaliste San Giorgio, ne l'auront eu dans leur radar, celui-là. Pas même nous, alors que nous avons un avantage sur beaucoup : celui d'avoir connu le milieu trans, avec outre notre amie Orla, la chanteuse Marie-France et la journaliste de Libé, Hélène Hazéra, entre autres.
La glorieuse Orla, au cœur d'or et aux valeurs loin de la gloriole, et des paillettes du showbiz, les appelait "Les Travelottes"...
Qui peut encore être dupe de la masculinité génétique du frêle Jean-Michel ? Blanrue, ou le fort malin vendeur de soupe angélique Jovanovic ?
Une anecdote qui peut être n'en est pas une :
en farfouillant sur Amazon où nos propres ouvrages érotico-kundalino-mystiques sont en vente, quelle ne fut pas notre surprise de voir un ouvrage réhabilitant "Brigitte", et signé du nom énigmatique de "Tristan Legall", Tristan, comme Tristan Mendes-France de Conspiracy Watch, et une parodie du nôtre, Christian Le Gall ?
Tristan, comme par hasard, étant aussi un prénom que nous eussions préféré porter.
Hasard, Clin d'Œil, Volonté de brouiller les pistes ? Mystère et boules de gommes.
En découvrant donc, ce nom et ce prénom de l'auteur, et surtout la conjonction des deux, nous avons cru avoir la berlue. Sans doute que ce livre est issu à la fois d'un collectif, et de l'Intelligence Artificielle.
Le titre ment, Il n'est en rien une contre-enquête, l'aveu, pathétique, se fait immédiatement sur la quatrième de couv :
Il n'est qu'à lire les premières phrases pour comprendre que c'est de la merde, du baratin humaniste digne d'un étudiant médiocre de Science Pol Pot ! Si "Brigitte" n'est pas une femme, il n'est pas non plus transsexuel, il n'est qu'un travesti hormoné et passé entre les mains du bon docteur Patrice Bui, spécialiste de la féminisation du visage.
"Brigitte" est une Dominatrix, qui n'aura cessé de limer Emmanuel M. à l'histoire toute aussi trouble que celle de Jean-Michel Trogneux.
Nous ne cachons pas notre trouble quant au nom et/ou pseudonyme de l'auteur.
Ce vieux blog, le nôtre, comme celui de Félix Niesche ou de Chriss Alphabeta, est un fossile, mais il fut un temps où il avait, comme tous les blogs réacs, été repéré par la NSA et le Parlement de Strasbourg, avec des visites quotidiennes qui d'ailleurs se poursuivent.
Bons ou mauvais, nos billets sont aspirés, et qui sait, conservés dans les archives informatiques de ces structures...
De plus, il nous est arrivé plusieurs fois des incidents curieux, comme celui de "La Voiture rouge", qu'il serait trop fastidieux à raconter, mais qui nous ont donné l'impression d'être suivi, pisté, surveillé, ... Sans parler de soucis de courriers volés, etc. de notre convocation par la PJ, de notre citation, avec quelques camarades, dans un site du "Monde", d'articles dans un site "antiraciste", etc. ...
En tous les cas, la synchronicité est surprenante, n'est-ce- pas ?.
Quel est votre sentiment ?
Cela dit, Standing Ovation, "Bravo Brigitte", "Encore, Encore", comme disent les engliches. Et comme le chantait Barbara, "Merci et Chapeau Bas"...
Si "Brigitte" avait voulu rester anonyme, "femme" obscure de ministre eut été suffisant, et "L'Affaire Monsieur" n'eut pas éclaté, personne ne se serait intéressé à lui, et encore moins à l'International, mais non, "Madame", et les forces qui la hisseraient au firmament, rêvait de lumière et avait été préparé pour cela, mais maladroitement, en espérant que le peuple n'y verrait que du feu, mais une Natacha veillait là au grain. Sans elle, Poussard n'aurait pas le culot d'aborder le sujet.
Rappelons que les services secrets étrangers, comme le FBI ,était au courant depuis plus de 15 ans.
