Voilà ce que j'ai appris aujourd'hui concernant mon ami Henri dit Boubou : son décès, en farfouillant sur la toile, le sachant en danger de mort,
notre dernière discussion téléphonique datant de juin.
Henri et moi partagions les mêmes valeurs, à part les goûts musicaux, et nos cours, et nos conflits, et nos accolades, sont mémorables, ainsi que nos discussions concernant la saloperie et la dégueulasserie hébraïques et franc-maçonniques, et leurs méfaits sur la civilisation, avec ces répugnantes histoires de bédouins, et de leurs buveurs huileux de pisse de chameau, qui sont à jamais gravées dans ma mémoire.
Boubou, tu es un Archange.
Désolé, Boubou, à mon arrivée, je ne ferai toutefois pas partie de tes chœurs, tant malgré ma voix de stentor, la musique classique désormais m'emmerde.
Tant de notes pour ne presque rien dire.
Boubou à 42 minutes 30
Rien ne vaut la délicatesse de la musique de chambre de Barbara, rien...
Condoglianze.
RépondreSupprimerKengañvoù (e Brezhoneg).
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