Le féminisme représente à la fois la destruction programmée de la femme, de l'enfant, et aussi celle de l'homme. Un des résultats de cette idéologie aux avant-gardes de la pestilence, est de voir au travers des merdias, des espèces d'engins, des exemplaires, impensables de laideur. C'est notre propre sœur, Marcellina, qui a attiré notre attention sur ce souci, et pointé de son index, ce congrès médiatique de sorcières et de laiderons pathologiques, à la génétique singulièrement foireuse. Première des mochetés exceptionnelles, Françoise Degois, née à Lourdes (sic), basque, n'en a pas reçu la grâce. Nez envahissant, yeux de grenouille, bouche "Béart", etc.

Hideuse sous toutes les coutures, Françoise est sans conteste en tête de podium des mochetés, talonnée de près par l'inqualifiable Laurence Haïm, furie anti-Trump et anti-Le Pen ! Selon Marcellina, Françoise D. auraient de gros lolos. Son seul atout. Vous rendez-vous compte que ces photos ont été prises de visu, et qu'elles ne souffrent d'aucun trucage.

Voici la Gueule de Laurence H face à Marine LP invitée à New-York ! La détestation et la vulgarité féministes incarnées. Les féministes sont autant de femelles déshumanisées, la lie sombre des femmes, dans la lignée des Clinton, des Veil, des Halimi, des pseudo-humanistes et des avorteuses aux avant-postes du Nouvel Ordre Mondial. Quel jeu joue donc les élites pour inviter dans les salons pareilles maritornes à vous filer des cauchemars ? Enième injonction paradoxale où l'éternelle jeunesse n'a jamais été aussi idolâtrée et où des épouvantails et des succubes
vous sont servis à table.
La troisième journaliste, une haquenée, est Ruth Elkrief,
mais nous lui avons préféré un spécimen étranger, une nouveauté spectaculaire, une sacrée poupée : Rachel Levine, transgenre, "Secretary of Health" du Gouvernement fraudeur, Biden.
Tof et compagnie vont en conclure que ce sont peut-être là des Archontes.
Pour conclure sur une note positive et nostalgique, en 2020 est partie à la fois une perle et un diamant, Diana Rigg dont nous sommes tombé amoureux en 1991
lors des retransmissions sur France3 de Chapeau Melon.
En 1993, dans les coulisses londoniennes de la pièce Medea, Diana -se stessa- m'a signé à contrecœur un autographe sur le livre français dédié à la série,
et elle m'a reçu, le visage dur et glacial, à peu près comme un chien dans un jeu de quilles !
Qu'importe, nos amours sont éternelles !
Une beauté, un charme, une intelligence inégalés.
Quelle leçon face à ces macaques !
Le monde a besoin de déesses, pas de féministes, ni de ces divinités infernales.
Ici, c'est le blog de la Tolérance, libre à vous de préférer des démones sans envergure à une Déesse !